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En France, 77% des internautes sont inscrits sur au moins un réseau social, selon la deuxième édition du baromètre annuel des réseaux sociaux, publié par Médiamétrie le jeudi 19 juillet. Cela correspond à 1,6 million d'inscrits supplémentaires en un an, le phénomène touchant toutes les tranches d'âge. Au total, 99% des internautes interrogés connaissent au moins un réseau social.

Parmi tous ceux inscrits sur un ou plusieurs réseaux sociaux, près des deux tiers les fréquentent tous les jours ou presque. De plus, 27% des inscrits aux réseaux sociaux s'y connectent au moins une fois par semaine au travail.

Twitter, Google + et LinkedIn sont les réseaux qui ont le plus progressé sur l'année écoulée. Twitter, par exemple, est désormais connu de deux tiers des internautes, et 15% y sont maintenant inscrits.

Du côté des usages, Facebook est privilégié pour partager des expériences avec ses proches, comme regarder des vidéos, partager des photos et poster des commentaires, tandis que Twitter est avant tout utilisé pour partager des informations et consulter des articles.

Si toutes les tranches d'âge sont désormais concernées par les réseaux sociaux, les CSP+ sont ceux qui cumulent le plus les inscriptions à au moins quatre réseaux.

Cette étude a été réalisée auprès de 3.120 internautes âgés de 13 ans et plus, à la fin du mois de mai 2012.

Selon les derniers chiffres publiés par la Commission du Film d'Ile-de-France, après une nette contraction en 2011, les succès de l'animation à la française et les coproductions étrangères ont permis le retour de l'emploi dans le secteur du cinéma en 2012.

Pour Olivier-René Veillon, le directeur de la Commission, ces statistiques - les seules disponibles - portent sur les chiffres de Paris et de sa région qui représentent 90% du secteur et peuvent être appliquées à l'ensemble du territoire. "On a enregistré une reprise d'activité et de l'emploi en 2012, surtout des emplois permanents", a-t-il déclaré à la presse.

Avec près de 20.000 emplois permanents, dont plus de 300 créés dans le seul secteur des effets visuels et de la 3D, le secteur renoue avec les statistiques de 2008, avant la crise de 2009. En revanche, chez les intermittents, le nombre de postes (110.000) reste inférieur à celui de 2008 (113.000). Mais il s'agit d'emplois de plus longue durée et de meilleure professionnalisation, selon Olivier-René Veillon. "La croissance a atteint 3% pour les emplois qualifiés, surtout dans le domaine numérique", précise-t-il.

La crise n'aura pas eu raison des entreprises de taille intermédiaire (ETI). De part leur capacité à innover et à se lancer à la conquête des marchés étrangers, les ETI parviennent à tirer leur épingle du jeu selon une étude du cabinet KPMG

Dans un environnement économique en berne, les ETI résistent bien à la crise. Selon une étude publiée par le cabinet KPMG sur les entreprises de taille intermédiaire, 86% des ETI prévoient de maintenir leurs effectifs et d'étendre leur activité ces deux prochaines années. 19% prévoient des embauches et même 29% dans les ETI de grande taille (entre 1 000 et 5 000 salariés).

Malgré la crise, le ressenti des dirigeants en 2011 correspond bien aux chiffres avancés par KPMG ce mois-ci (45% d'entre eux estimaient alors ne pas connaître de problèmes de croissance).

Jacky Lintignat, directeur général de KPMG, souligne que "la croissance organique par l'internationalisation et l'innovation est la voie naturelle du développement des entreprises, mais elle est longue et incertaine. La croissance externe, plus risquée, est un moyen beaucoup plus rapide et efficace pour faire émerger des ETI."

Et en effet, l'enquête montre que la plupart des ETI sont présentes à l'étranger (80% ont une activité hors de France), fort vecteur de performance et d'innovation.

Les ETI, moteurs indispensables de l'activité économique française et soutiens non négligeable de l'emploi, ont un bel avenir devant elles.

Alors que François Hollande vient d’être élu président de la République, une nouvelle élection se profile à l’horizon des citoyens français : les élections législatives. Avec un détail inédit cette année.

Pour la première fois, les Français résidants à l’étranger éliront leurs propres députés. En 2008, 11 sièges ont été créés destinés à accueillir 11 députés qui représenteront les expatriés de France. Quelques sièges qui pourraient faire la différence.

C’est pour cela que les partis politiques voient dans ces nouveaux sièges un véritable enjeu pour obtenir la majorité à l’Assemblée nationale. Mais ils doivent faire face à des électeurs dont les priorités sont différentes des habitants de la métropole.

Car, ne l’oublions pas, la différence de votes entre François Hollande et Nicolas Sarkozy n’était que de 3.2 points (51,6% pour François Hollande et 48,6% pour Nicolas Sarkozy). Et la majorité des Français à l’étranger a voté pour Nicolas Sarkozy (53% des voix).

Les 11 sièges pourraient donc faire toute la différence entre une Assemblée majoritairement à gauche et une majoritairement à droite. Et si les grands partis ont leurs candidats, ils voient se développer un mouvement de candidats indépendants.

C’est le cas de Jean-Marc Millet, candidat pour la 2^ème circonscription (Amérique du Sud) qui ne fait partie d’aucun parti. C’est plutôt sous forme de « collectif » que se présentent les candidats de « Vision-Expat ».

Lorsqu’on regarde le programme de Mr Millet, on remarque que les problématiques principales de son programme ne sont pas courantes en métropole. En effet, « au pays », le problème de la double nationalité, de la double imposition ou de l’absence de bureaux d’aide dans tous les consulats sont loin d’être prioritaire, voire même complètement inconnus.

Or, ces candidats indépendants comptent bien représenter leurs électeurs en suivant des problématiques moins fréquentes et il faudra alors les concilier avec les problématiques de la métropole pour obtenir leur soutient.

Peu à peu, Google s’installe comme N°1 des navigateurs avec un taux d’utilisation de 32,69%.

Google Chrome fait son petit bonhomme de chemin et se classe désormais comme Numéro 1 des navigateurs.

Dans la semaine allant du 14 au 20 mai 2012, le navigateur de Google a totalisé un taux d’utilisation de 32,69% alors que celui d’Internet Explorer était de 32,01%.

Toutefois, la semaine précédente, les deux applications étaient presque à égalité avec un moindre avantage pour Internet Explorer. 

Le géant du Web ne peut plus vraiment progresser que dans les pays développés.Il se doit donc de gagner des parts de marché dans les pays où Internet se développe, notamment en Asie où le marché explose. Il a néanmoins du mal à se faire une place dans certains pays comme en Chine, en Corée du Sud qui a son Baidu local, nommé Naver. En Russie où Yandex est particulièrement connu et au Japon, où Yahoo! dispose d’une cote de popularité importante.

Yahoo !, malgré une présence assez importante aux États-Unis et au Japon, n’occupe ainsi que 5,4 % du marché dans le monde, contre 4,8 % pour Microsoft et 4,6 % pour Baidu.

Malgré les difficultés qui touchent les PME, l'inquiétude des patrons des PME françaises est en recul par rapport à la fin de l'année 2011. Un recul important, même si 73% des dirigeants de PME restent inquiets.

Un pessimisme qui est en recul même lorsque les patrons considèrent les perspectives pour 2012. Si au trimestre dernier ils étaient 58% à être inquiets pour l'activité de leur entreprise, ils ne sont plus que 48% aujourd'hui selon la dernière édition du baromètre de KPMG/CPGME sur les PME.

Bien que le pessimisme soit en net recul, les difficultés ne sont pas moins présentes dans l'esprit des dirigeants. 65% des PME sont affectées par la hausse des coûts et la hausse du prix des fournisseurs (+4 points par rapport à décembre 2011). Dans le commerce, ce pourcentage monte jusqu'à 73%.

Outre la hausse des prix, la baisse du chiffre d'affaires inquiète aussi les dirigeants des PME, tout comme les problèmes de trésorerie ou de financement. Respectivement ressentis par 38% et 27% des PME, ils sont parmi les inquiétudes les plus courantes des dirigeants.

Le premier effet de ce regain de confiance se ressent dans les besoins de financement des PME. Si en décembre 2011 65% des patrons de PME avaient au moins un besoin de financement, ce pourcentage est en baisse de 5 points à 60% lors de ce treizième baromètre.

La baisse s'explique principalement par une diminution de financements pour des investissements nécessités par 36% des PME (-8 points). Les besoins de financement pour l'exploitation restent quant à eux assez stables : 31% des PME en ont besoin (-1 point).

Les financements sont moins requis dans les services où près d'une entreprise sur deux (48%) déclare ne pas en avoir besoin.

Dans le but d’éviter toute collision, l’aéroport de Schiphol, près d’Amsterdam, préconise une solution radicale. En effet, les quelque 50.000 oies qui perturbent les vols des avions seront gazées « à l’aide d’un certain type de CO2 » a déclaré à l’AFP Karin van Rooijen, porte-parole du ministère néerlandais de l’Environnement.

Pour contrer le problème des radars pourraient être utilisés, permettant ainsi de détecter les oies qui pourraient «présenter un risque» au décollage et à l’atterrissage, mais cela sera loin d’être suffisant. Pour limiter la prolifération des oiseaux, un pacte est passé entre le gouvernement, les autorités locales, les agriculteurs et les associations de défense des animaux prévoyant plusieurs actions : labour des champs le plus tôt possible après les récoltes pour enfouir les graines que les oies pourraient manger, chasse des oies autorisée et destruction des œufs dans un périmètre de 10km autour des pistes en complément du gazage des populations d’oies sauvages.

Depuis 2005, le nombre d’oies sauvages vivant à proximité des pistes a été multiplié par quatorze du fait que les Pays-Bas soient un "endroit particulièrement attrayant pour les oies, avec beaucoup d'eau partout" explique le Gouvernement. Par conséquent, le nombre de collisions augmente sans cesse et les pilotes sont de plus en plus souvent obligés d’atterrir en urgence ou d’interrompre le décollage.

L’once d’or atteint la valeur de 1587 $ et s’affirme plus que jamais comme une valeur refuge.

Le cours de l’or a atteint un nouveau record mercredi 13 juillet en dépassant les 1580 $ l’once sur le marché au comptant, soit 51 000 $ pour le lingot d’un kg. C’est un niveau historique qui atteste du statut de valeur refuge de l’or.

Mercredi était la septième séance consécutive de hausse du cours de l’or et cette tendance pourrait se confirmer si les incertitudes sur les devises se confirment. L’encours de SPDR Gold Shares a notamment gagné 20 tonnes à 1225 tonnes.

Les inquiétudes quant à la crise de la dette dans la zone euro et la situation budgétaire américaine renforce ce recours aux valeurs refuges que sont l’or, mais aussi certaines devises comme le franc suisse, qui lui aussi atteint des niveaux extrêmement élevés en 2011.

Alassane Ouattara est incontestablement la vedette du 17ème sommet de l’Union Africaine qui se tient jeudi et vendredi à Malabo (Guinée Equatoriale). Le président ivoirien aurait reçu pas moins de 42 demandes d’audience selon un ministre ivoirien.

Arrivé mercredi 29 juin à Malabo, Alassane Ouattara n’a pas tardé à percevoir la curiosité qui l’entoure à l’approche de son premier sommet de l’organisation africaine en tant que président de la Côte d’Ivoire.
Selon le ministre ivoirien de l’Intégration Africaine, Adama Bictogo, 42 pays (sur les 53 que compte l’organisation) ont fait une demande d’audience pour rencontrer le Président ivoirien
« Tous les pays, tous les représentants des pays sollicitent une audience avec le Président de la République. Sur 53 pays, nous avons reçu environ 42 demandes d’audiences », a-t-il affirmé à des journalistes ivoiriens.

« Tous les pays sont demandeurs et malheureusement, il ne peut pas recevoir tout le monde. Le Président de la République Alassane Ouattara est la personnalité la plus attendue aujourd’hui à ce 17ème Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernements », a précisé M. Bictogo.

Selon lui, « la Côte d’Ivoire suscite beaucoup d’espoir et le Président Alassane Ouattara, lui-même suscite beaucoup d’espoir. La Côte d’Ivoire se veut être la locomotive de la sous-région, elle le sera et la Côte d’Ivoire en a la capacité. C’est le début d’une Côte d’Ivoire nouvelle »